Ces dix courtes pièces de théâtre, où l’humour est roi, sont à lire ou à jouer, tous ensemble en classe, ou en groupes.
Les thèmes (contes détournés, farces burlesques, intrigues policières, univers de science-fiction…) et les personnages (loups, vampires, martiens, robots, enfants farceurs et même un roi tout nu !) permettent aux élèves d’aborder le genre théâtral de manière ludique et diversifiée.
A l’école, il n’est pas très heureux. Il y a bien son cartable, plein de petites poches pour glisser ses biscuits, bonbons et chewing-gums… mais la maîtresse veut absolument qu’il apprennent à lire, écrire, compter, alors que lui n’en voit vraiment pas l’intérêt. Jusqu’au jour où, à la bibliothèque, il tombe sur une recette de cookies très alléchante…
Mme Leroi, horrifiée, fit un bond en arrière et se colla contre la porte… Son magasin avait été sauvagement saccagé. Les vitres étaient brisées et il n’y avait plus un seul gâteau sur les plateaux où elle les avait déposés la veille au soir.
Les mystérieux saccage de pâtisseries ne s’arrêteront pas là !
Le commissaire Nullos saura-t-il se dépêtrer de cette délicate enquête ou devra-t-il appeler à la rescousse La Puce et son fidèle Gros Blair ?
Au Kansas, les cyclones sont fréquents et ravageurs. L’un d’eux emporte dans son tourbillon la maison de Dorothée. Par miracle, il la dépose intacte dans un pays étrange où sévissent des sorcières, bonnes ou mauvaises…
La fillette entend parler d’un grand magicien nommé Oz, et qui pourrait l’aider. Elle se rend donc à la Cité d’émeraude pour le rencontrer. En chemin, un Epouvantail, un Bûcheron-en-fer-blanc et un Lion Poltron deviendront ses compagnons de voyage. Mais la route est longue, semée d’embûches et de surprises…
Car qui est vraiment Oz ?…
Le Magicien d’Oz a été publié aux Etats-Unis en 1899.
Je m’appelle Muldoon, Bug Muldoon. Je suis détective privé. Actuellement, je suis sur une histoire de disparition d’insectes. Et ce n’est pas une mince affaire, croyez moi ! Depuis que j’ai mis mon nez là-dedans, je les ai toutes sur le dos : les fourmis, les guêpes, les mouches, et bien sûr, les araignées. Plus moyen d’être tranquille ! Je vous assure, ce n’est pas une vie pour un scarabée…
Tirez pas sur le scarabée ! a été publié en langue anglaise en 1995.
C’est bien de choisir un parfum de glace ; plonger dans un pot de confiture ; être abonné à un magazine ; lire un livre qui fait peur ; sentir Noël ; discuter avec sa grand-mère…
La vie est faite de tous ces petits instants de bonheur, doux, souvent légers et toujours simples. Savourer quelques pages pour retrouver le goût des plaisirs de tous les jours, c’est vraiment bien.
Dans l’école de mes rêves
Les enfants dans la lune
Ont un ami Pierrot,
Qui leur prête sa plume
Pour écrire des oiseaux…
Dans l’école de mes rêves
Les murs sont en couleurs,
Et les poèmes bulles
Vous parlent du bonheur
En lettres majuscules…
Dans l’école de mes rêves
Il y a le cœur d’un maîtresse
Qui efface les chagrins,
Et les bonbons tendresse
Dans la poche d’un copain…
Et pendant la récré,
Un gros ballon soleil
Qui joue à chat perché,
Au bout d’une ficelle
Pour illuminer…L’école de mes rêves !
Un recueil composé de 57 poésies.
Des poèmes bulles tendres et amusants écrits sur les pages bleues de l’horizon pour parler du bonheur en lettres majuscules…
Nowan est le témoin de la création des plus grandes œuvres d’art…
Banksy, Dali, Van Gogh ou encore Arcimboldo, il était là a chaque fois ! Il a tout vu, et même aidé quelques artistes. L’histoire de l’art revisitée par Nowan, c’est certainement bien plus drôle que la réalité !
Décembre 1914.
Après des mois de combats acharnés, les soldats s’apprêtent à passer leur premier Noël dans les tranchées. D’un côté comme de l’autre, chacun n’a qu’une envie : être chez lui, dans sa famille. Et l’impensable se produit. Un chant de Noël. Une poignée de main. Les hommes se retrouvent dans le no man’s land. Puis, comme sorti de nulle part, un ballon apparaît. S’ensuit alors le plus incroyable match de football qu’on puisse imaginer…
100 ans plus tard, son panier de pigeons sur le dos, le petit Léo revit cette scène avec son père lors d’une reconstitution historique des trêves de Noël. Un symbole fort et vivant de l’humanité retrouvée au cœur même de la guerre, raconté à partir de lettres et de récits authentiques de soldats ayant vécu ces moments d’émotion.